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| Quand on joue avec le feu [Myriam et Aaron] {Peut ne pas convenir à un jeune public} | |
| | Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: Quand on joue avec le feu [Myriam et Aaron] {Peut ne pas convenir à un jeune public} Sam 8 Jan - 16:23 | |
| - Coupez! C'est parfait! Le film est enfin terminé. Vous avez fait du bon boulot, excellent travail tout le monde! Maintenant, vous pouvez retourner chez vous et revoir les êtres qui vous sont chers. Je vous recontacterai pour l'avant-première du film, les séances de photos et tout le tra la la. Bon voyage de retour à tous!
Myriam poussa un soupir de soulagement lorsque le producteur du film prononça son petit discours. Enfin! Elle était libre. Enfin! Elle allait retourner chez elle, dans son appartement, elle pourra de nouveau dormir dans son lit et surtout, surtout, elle pourra revoir Aaron. Cela faisait maintenant un mois qu'elle était partie à l'étranger pour un de ses films. UN mois qu'elle avait fait la rencontre de la belle-mère exécrable d'Aaron et de son père. Elle était partie quelques jours après cet événement, malheureusement. Elle n'avait pas trop eu le choix, c'était le métier qu'elle avait choisit pour s'intégrer aux humains. Elle avait donc avertie Aaron de son départ, et à contre-cœur, elle partie pour son tournage. Pendant tout ce mois là, elle s'était ennuyée d'Aaron, de sa présence, de ses baisers, certes ils se parlaient de temps à autre par téléphone ou via internet, mais ce n'était pas la même chose et cela ne durait jamais longtemps, puisque Myriam devait toujours tourner des scènes.
Après que le producteur leur ai dit qu'ils pouvaient tous partir, Myriam ne se fit pas prier et quitta derechef le lieu de tournage pour préparer sa valise. Deux heures plus tard, elle était dans l'avion qui la ramenait à Londres. Heureusement, le vol ne fut pas très long, donc elle put retrouver rapidement son appartement. Aussitôt arrivée chez elle, elle balanca sa valise dans sa chambre et alla tout de suite chercher le téléphone. Elle le décrocha et signala le numéro d'Aaron. Plusieurs sonneries s'écoulèrent, personne ne décrocha. Elle décida donc d'essayer son portable. Elle se demanda aussitôt pourquoi elle n'y avait pas pensé dès le début.- Allo Aaron? C'est moi, Myriam. Je suis enfin de retour chez moi, tu peux passer me voir mon coeur? Super, je t'attends alors! Oh... Aaron... Tu m'as beaucoup manqué. Puis, Myriam raccrocha, sachant que son bien-aimé s'en venait la voir. Elle se dépêcha alors de faire le ménage un peu, histoire que tout soit bien en ordre. Elle défit sa valise et se regarda dans le miroir de la salle de bain. Elle avait encore les derniers vêtements qu'elle avait porté pour la dernière scène qu'elle avait tourné. Il s'agissait d'un haut rouge très mignon avec une jupe noire légèrement plissée qui lui donnait un air de poupée avec son maquillage. Elle était très belle, même si ses cheveux étaient un peu décoiffé. Elle ressemblait à ceci:
Satisfaite de son image, elle attendit impatiemment la venue d'Aaron. Il ne devrait plus tarder maintenant. Heureusement, il venait tellement souvent chez elle depuis deux ou trois mois que le portier le reconnaitrait et qu'il pourrait sans problème accéder à ses appartements. Ce fut de toute évidence le cas, car la sonnette de sa porte retentit dans l'appartement. Sachant pertinemment que c'était lui, elle se mit à sourire comme une idiote et elle alla ouvrir la porte. Elle sourit encore plus lorsqu'elle vit le beau visage d'Aaron en face d'elle. Elle le fit entrer, referma la porte, puis lui sauta au cou en l'embrassant. Après un mois d'absence, sans le voir, ni le toucher, ni le sentir, Myriam n'arrivait plus à se contrôler. Rapidement, elle l'attira jusque dans sa chambre et entreprit de le déshabiller. Elle parsema son corps de baiser, se faisant à la fois douce et pressante, avide de pouvoir être contre lui. Aaron perdit rapidement sa chemise, puis ses pantalons. Lorsqu'il ne fut qu'en sous-vêtements, Myriam caressa doucement sa peau et le poussa gentiment sur le lit. elle s'installa par dessus lui et l'embrassa passionnément avant de commencer à enlever ses propres vêtements à elle. - Tu m'as tellement manqué... C'était horriblement long tout ce temps sans toi. J'ai pensé à toi sans arrêt, j'aurais aimé que tu sois avec moi. Elle avait dit cela d'un air dépité, elle s'était réellement ennuyée, elle avait penser à lui tous les jours et elle avait pensé bon nombre de fois à laisser tomber le film pour revenir vers lui. l'embrassant encore et encore, elle caressait son corps par la même occasion. Elle n'avait plus aucun contrôle sur elle et cela ne lui dérangeait pas. Ils se fréquentaient depuis un moment, et de ne pas l'avoir vu pendant aussi longtemps l'empêchait de penser rationnellement...
Dernière édition par Myriam C. Le Grand le Mar 11 Jan - 19:39, édité 1 fois |
| | | Aaron Lewis — Live out all the rest
Age : 35 Messages : 375 Date d'inscription : 02/12/2010
| Sujet: Re: Quand on joue avec le feu [Myriam et Aaron] {Peut ne pas convenir à un jeune public} Mar 11 Jan - 19:09 | |
| Réveil difficile aujourd'hui, non pas que mes journées soient particulièrement fatigante. Mais ce sont mes nuits qui le sont. C'est ainsi, je me bats contre moi-même. Et lorsque je trouve enfin de sommeil, c'est pour me lever quelques minutes après. Cette maladie est vraiment un fardeau... Aucun doute là-dessus. Alors, pour la première fois depuis longtemps, je ne me levais pas. J'étais bien trop fatiguer pour me permettre d'aller en cour. Cette après-midi sans aucun doute. Quand j'aurais quelques heures dans le sang.
Je n'eus aucun mal à me rendormir. Au contraire, je tombais comme une masse dans la brume soporifique du sommeil. Mon esprit s'égara lentement. Me faisant perdre pieds et raison. Je n'étais plus que le pantin de mes envies. Envies qui semblèrent converger vers là-même et unique chose. Une déesse fait de chaire et de perle. Une perfection perchait sur des hauts talons. Cette petite brune aura donc raison de moi ?
Et puis un bruit lointain m'attirait de nouveau vers la réalité. Un bruit agacent et répétitif. Y faisant abstraction, je tentais de replonger dans cet univers capitonné. Et puis un autre bruit émergea du silence. Cette fois-ci je reconnue sa provenance. Mon portable. M'abattant sur lui comme un lion sur sa proie, je ne pris pas la peine d'identifier mon interlocuteur. Me laissant ainsi la surprise.
— Allo Aaron? — Oui ? — C'est moi, Myriam. Je suis enfin de retour chez moi, tu peux passer me voir mon coeur? — Le temps de m'habiller, de prendre le bus et je suis là ! — Super, je t'attends alors! — À toute suite ! — Oh… Aaron... Tu m'as beaucoup manqué.
Raccrochant sur cette note de plaisir. Je sortis enfin de mon lit. M'intéressant enfin à l'heure je découvrais avec stupeur qu'il était déjà quinze heures. Quand même ! J'en avais vraiment besoin. Me dirigeant enfin vers mon dressing, j'aperçus à ma fenêtre un homme et son appareil photo. Ok, on allait me faire chier aujourd'hui. No problème ! Me préparant alors en vitesse, je sortis sans tarder de la maison. Jean, chemise, veste et c'est tous. Me dirigeant alors vers la ligne de bus la plus proche. Je ne tardais pas.
Car après plus d'un mois de séparation... Ce n'était pas sa voix qui allait me calmer. Alors, après avoir salué le portier, je montais les marches quatre par quatre. Attendre l'ascenseur ? Il ne fallait pas rêver. Et puis sa porte. Un sourire idiot s'afficha sur mes lèvres, sonnant enfin j'attendis qu'elle ouvre. Chose qui ne tarda pas.
Entrant alors, je n'eus pas le temps de faire grand-chose, car ... Elle me sauta réellement dessus. Ce n'était plus embrassé à ce niveau ! M'entraînant rapidement à sa chambre, elle commença à me déshabiller. Chose que je ne lui interdis pas. Ou étais passé mes belles paroles d'il y a un mois ? Envolé ! Elle m'avait trop manqué. Me retrouvant rapidement en boxer, j'étais réellement à ses dores aujourd'hui. Si cela m'amusait ? Surement. Basculant alors sur le lit, elle s'installa sur moi. Continuant alors à m'embrasser. Et puis, elle enleva elle-même ses vêtements.
— Tu m'as tellement manqué... C'était horriblement long tout ce temps sans toi. J'ai pensé à toi sans arrêt, j'aurais aimé que tu sois avec moi.
Elle comme moi semblions incapable de se contrôler. J'étais clairement hors contrôle. À jouer avec le feu on s'en brule les ailes. Sauf que la ... Elle n'était pas plus ange que moi. Dire adieu à ces belles paroles sur l'abstinence n'était pas un problème pour moi. Car la maintenant, je voulais être au plus près d'elle.
L'attirant peu-à-peu vers moi, je l'aidais largement à perdre ce qui protéger encore ses sous-vêtements. Je finis d'ailleurs par me redresser. Me retrouvant de nouveau sur pieds. Elle dans mes bras alors que j'embrassais sa nuque et que mes mains effleuré déjà son corps. De plus en plus fou de sa peau, de son corps j'en venais à oublier ses lèvres. Rectifiant bien rapidement cette erreur je l'embrassais sans attendre... Et puis, je pris conscience de ce que j'allais faire. Souriant d'abord comme un idiot je finis par lui caresser le visage, avouant la raison de mon sourire soudain:
— Moi qui m'étais fait abstinent … C'est surement ça l'émotion qu'on ressent lorsqu'on revoit un être chère …
Descendant doucement ma bouche sur son cou, je l'embrassai lentement, pendant qu'une de mes mains trouva un chemin. La courbe délicate de son dos était coupé par un bout de tissus inutile. Passant alors ma main sous ce vêtement, j'y figeai mes doigts. Prêts à le dégrafé à tous moment.
La suite des évènements ne dépendrait qu'elle. J'avais dit pour la première fois je t'aime à une autre femme que ma mère … Miracle je sais ? Mais surtout très idiots … Surtout si prêt de la mort.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Quand on joue avec le feu [Myriam et Aaron] {Peut ne pas convenir à un jeune public} Mar 11 Jan - 19:37 | |
| - Spoiler:
Myriam était incapable de se contrôler, de contrôler ses envies. Elle avait l'estomac tout retourné, revoir Aaron après tant de semaines d'absences, c'était un réel bonheur de le regarder, d'être près de lui, de pouvoir le toucher. Et elle ne se lassait pas de faire toute ses choses. Quand on joue avec le feu, on se brule, c'est sûr. Sauf que Myriam n'avait pas peur de se brûler, elle s'en foutait un peu d'ailleurs. Tout ce qui importait, pour l'instant, c'était Aaron et elle, là maintenant, leurs retrouvailles après un mois séparé l'un de l'autre. Vous savez, quand vous avez l'impression qu'il y a un manque dans votre vie, que vous ne serez pas complet tant que vous n'aurez pas trouvé ce que c'était? Et bien, Myriam ressentait exactement cela lorsqu'elle était loin d'Aaron, elle s'en était vite aperçue pendant le mois de tournage à l'étranger qu'elle venait de vivre. Sans lui, sans l'homme qu'elle aimait, car oui, maintenant elle ne pouvait vraiment, mais vraiment plus nier qu'elle en était amoureuse, sans son Aaron, rien n'était pareil, tout était fade, terne, et elle avait cette sensation de manque intense, comme si elle était alors en désintoxication.
Aaron sembla ressentir la même chose, car à son tour il l'attira à elle et il l'aida à se dévêtir. Son joli haut rouge retrouva rapidement le plancher de sa chambre, suivit de très près par sa jupe noire plissée. Elle était désormais en sous-vêtement, ces derniers étaient en dentelles et de couleur rouge et noir, si cela vous intéresse. Aaron s'était redressé, il était debout et tenait Myriam dans ses bras. Heureusement qu'elle était un poids plume, car sinon elle aurait eu peur pour lui, à cause de sa maladie. Pourtant, il semblait en pleine forme avec elle, lui embrassant la nuque et effleurant le corps de Myrie. Cette dernière frissonnait là où les doigts de son amoureux caressait sa peau. Elle caressait ses cheveux, son dos, tout ce qu'elle pouvait touché dans la position qu'elle était. Lorsqu'il revint vers son visage pour l'embrasser, Myrie lui répondit par un baiser fougueux, contenant tout le désir qu'elle éprouvait pour lui. Puis, Aaron sourit comme un idiot et caressa son visage avant de lui parler.
— Moi qui m'étais fait abstinent … C'est surement ça l'émotion qu'on ressent lorsqu'on revoit un être chère …
Myriam émit un petit rire, elle comprenait ce qu'il voulait dire. Elle aussi s'était promise d'être abstinente et pourtant, elle s'en foutait car tout ce qui importait, c'était d'être avec Aaron, de le revoir et de rattraper le temps perdu. Car oui, elle considérait qu'elle avait perdue beaucoup de temps puisqu'elle avait passé un mois tout entier, un très long mois d'ailleurs, à ne pas pouvoir être avec l'homme qu'elle aimait. Il ne lui restait plus beaucoup de temps pour lui donner confiance en elle, pour qu'ils arrivent à évoluer, même si en ce moment, on pouvait dire qu'ils étaient sur le point de passer à une autre étape de leur relation. Après lui avoir parlé, Aaron avait commencé à embrasser son cou et avait diriger l'une de ses mains en direction de son soutien-gorge, prêt à le dégrafer. Pourtant, il stoppa net dans son élan, ce qui surprit Myriam. Elle plongeait son regard dans le sien au moment même où il s'adressa à elle pour lui dire:
— Je t'aime Myriam …
Sous le choc, Myriam sourit comme une idiote, c'était son tour de le faire. Les yeux remplit d'étoiles, elle caressa doucement la joue d'Aaron et l'embrassa tendrement, en mettant dans son baiser tout l'amour qu'elle éprouvait pour lui. Elle l'embrassa encore et encore, puis se débrouilla pour qu'Aaron la lâche et elle l'attira vers le lit de nouveau. Elle le fit asseoir, puis elle lui susurra un Je t'aime aussi mon bel amour. Ensuite, elle l'embrassa encore et descendit ses baisers dans son cou, sur son torse et descendit encore un peu. Rendue là où elle souhaitait être, elle enleva délicatement ce qui restait de vêtement sur Aaron, le découvrant alors complètement nu pour la première fois. elle l'admira un court instant, savourant sa beauté, puis elle retourna l'embrasser sur les lèvres, caressant son corps autant qu'elle le pouvait. Ses mains se dirigèrent alors vers le sexe d'Aaron, désormais à l'air libre. Avec douceur et amour, elle commença a le caresser d'une main experte.
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| | | Aaron Lewis — Live out all the rest
Age : 35 Messages : 375 Date d'inscription : 02/12/2010
| Sujet: Re: Quand on joue avec le feu [Myriam et Aaron] {Peut ne pas convenir à un jeune public} Dim 16 Jan - 15:16 | |
| - Spoiler:
J'avais beau être préoccupé par ce qui c'était passé en début de journée, je ne pouvais ignorer la femme qui m'embrasser. J'oubliais, j'oubliais que le temps était à présent compté. J'oubliais que la fin ne serait tardé. Se débrouillant alors pour que je la lâche, elle m'attira rapidement vers le lit. Si elle aimait tant dominer, qu'elle fasse. M'embrassant elle descendit progressivement ses baisers. D'abords son cou, puis le torse et plus bas encore. Elle allait franchir les limites.
Elle enleva le dernier vêtement qui me restait. C'était fait, j'étais entièrement nu. Comme un vers. J'aurais pu être gêné, mais au lieu de cela, je ne désirais qu'une chose. Continuer. Et puis elle m'embrassa à nouveau. Frôlant mon corps de ses doigts, le caressant de ses mains. Et puis l'une d'elle descendit. Trouvant avec habileté le fruit interdit. Aucun doute sur sa maitrise du sujet. Ses lèvres toujours encrés aux miennes, je sentais mon corps se tendre peu-à-peu. Saccadant ma respiration. Faisant monter mon désir pour son corps. Il faut dire aussi que j'avais été le parfait petit catholique durant des mois.
Doucement je fermai les yeux. Profitant de ces quelques minutes avant de revenir sur à nos affaires. Je l'embrassai dans le cou avant d'aller chercher sa main. Prenant Myriam dans mes bras avant de la faire basculer cette dernière sur le lit. À mon tour de la mettre à nue. Me posant à côté d'elle j'embrassais son ventre avant de remonter lentement sur sa poitrine puis le creux de sa nuque avant de finir sur ses lèvres. Laissant mes mains glisser le long de son corps. A mon tour d'user d'une main experte.
— Tu n'es pas la seule à savoir jouer ...
Et puis j'étendis ma main en direction de mon pantalon. Oui, si nous voulions continuer comme des grands il fallait s'équiper. Après toutes les années de communication publicitaire n'était pas la pour rien. Et en bon étudiant que j'étais, et même si j'avais Myriam, je ne sortais jamais sans. Surtout après un mois d'absence.
— On jouent ?
Dis-je avec un petit carré entre les lèvres. Il était encore temps pour elle de faire marche arrière. Si jamais elle n'était plus sur. Si je n'étais plus celui avec qui elle voulait s'abandonner.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Quand on joue avec le feu [Myriam et Aaron] {Peut ne pas convenir à un jeune public} Dim 16 Jan - 15:49 | |
| - Spoiler:
Myriam sentait relativement bien le corps d'Aaron qui se tendait au fur et à mesure qu'elle progressait dans ses caresses, elle entendait la respiration de son bien-aimé qui commençait à se saccader et elle voyait que son désir montait en lui au rythme des caresses qu'elle lui faisait. Parfait. Tout ce qu'elle observait chez Aaron lui démontrait qu'il la voulait et qu'il voulait continuer. Ce qui enchantait Myriam, car même si elle avait voulu prendre son temps avec Aaron, il n'en restait pas moins qu'elle avait été sage depuis des mois et ce n'était pas dans ses habitudes. Elle n'en pouvait plus et le fait qu'elle n'ai pas revu Aaron depuis un mois n'aidait pas à la chose. Myriam continua donc ses caresses, variant la pression afin de faire monter le plaisir de son compagnon, tout en le regardant. Il venait de fermer les yeux, signe qu'il souhaitait profiter au maximum de ce qu'elle lui faisait, ce qui voulait dire qu'il appréciait grandement la chose. Cette simple pensée fit sourire Myriam.
Puis, Aaron ouvrit les yeux et l'embrassa dans le cou. Ensuite, il alla chercher sa main, ce qui apeura Myriam un instant, croyant qu'il voulait tout arrêter. Toutefois, avant qu'elle n'ai pu protester, le bel humain la prit dans ses bras et la fit basculer sur le lit pour ensuite enlever les sous-vêtements de Myriam. Le soutien-gorge et la petite culotte en dentelle se retrouvèrent donc très rapidement sur le sol. Myriam, un sourire aux lèvres et un regard rempli de désir, regardait Aaron, avide de continuer leur jeu. Il s'était installé à coté d'elle et embrassait maintenant son ventre avant de remonter tranquillement jusqu'à ses lèvres, non sans avoir passer par sa poitrine. Il la caressa à son tour, glissant ses mains sur le corps de la belle démone, qui immédiatement frémis de désir. La soirée s'annonçait merveilleusement agitée et cela plaisait à Myrie. Puis, Aaron s'adressa à elle et elle l'écouta attentivement.
— Tu n'es pas la seule à savoir jouer ...
Un sourire coquin aux lèvres, Myriam était ravie d'entendre ca. C'était toujours plus agréable quand l'autre savait jouer aussi. Quand il fallait tout montrer parce que l'autre ignorait comment jouer, c'était lassant à la longue et ennuyant. Mais de toute évidence, ce n'était pas le cas d'Aaron et même si, sur le coup cette idée lui fit un peu mal, le désir qu'elle éprouvait en ce moment et l'amour qu'elle avait pour lui finirent par prendre le dessus. Elle le vit se pencher vers son pantalon, qui était toujours sur le plancher de la chambre de la démone, et esquissa un sourire lorsqu'elle vit ce qu'il en sortit. Soit il pensait depuis un moment à passer aux choses supérieures avec elle et qu'il avait vu en cette soirée la parfaite occasion et qu'il s'était munit en conséquence, soit c'était une habitude de toujours trainer ce genre de carré de plastique dans ses pantalons et ce, depuis bien avant qu'ils ne se connaissent et que les choses deviennent sérieuses entre eux.
— On jouent ?
Le carré de plastique entre les lèvres, Aaron la regardait de telle façon qu'elle n'aurait pas pu dire non, même si c'était ce qu'elle aurait souhaité. Heureusement, à cet instant, tout ce qu'elle voulait, c'était justement joué, elle jugeait qu'elle avait suffisamment patienter et qu'ils avaient bien le droit de passer au niveau suivant de leur relation. Et puis, en un sens, ils n'avaient pas le choix, car s'ils n'atteignaient pas le stade de pleine confiance bientôt, Myriam ne pourrait pas lui révéler qui elle était et elle ne pourrait pas sauver Aaron. Hors, cette idée était trop douloureuse pour qu'elle puisse l'accepter et y penser. Elle regarda Aaron, caressa sa joue et sourit. Plus que tout, elle le désirait, elle voulait s'abandonner complètement à lui, rien ne la ferait changer d'avis. Elle acquiesca doucement, prit le carré de plastique qui était entre les lèvres d'Aaron et le déposa à coté d'eux le temps d'aller l'embrasser langoureusement. Un baiser qui dura une éternité avant de s'arrêter afin qu'ils puissent passer aux choses plus sérieuses.
Elle finit par descendre son baiser dans le cou d'Aaron, puis sur son torse. S'ils voulaient pouvoir se servir du carré de plastique à coté d'eux, il fallait bien faire en sorte de rendre la chose possible. Et Myrie savait exactement comment. Elle embrassa son amoureux sur le torse puis descendit ses baisers jusqu'à atteindre la cible désirée, celle là même qu'elle avait caressé de sa main quelques minutes plus tôt. Doucement, elle commenca par y déposer quelques baisers, mais bien rapidement, elle passa à l'étape deux, passant sa langue sur le sexe d'Aaron de façon délicate et de manière à rendre ce dernier fou de désir. Elle continua ainsi un moment, ne voulant qu'une chose, que son petit ami éprouve un plaisir incommensurable...
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| | | Aaron Lewis — Live out all the rest
Age : 35 Messages : 375 Date d'inscription : 02/12/2010
| Sujet: Re: Quand on joue avec le feu [Myriam et Aaron] {Peut ne pas convenir à un jeune public} Dim 23 Jan - 19:01 | |
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Acquiesçant silencieusement, elle me prit le carré des lèvres pour le déposer à côté de moi. Enfin de nous. M'embrassant alors durant une éternité. Faisant monter violemment les envies qui m'habitaient. En temps normal je n'aurais pas flambé si rapidement. Mais la ... Après des semaines d'absences. L'envie était trop forte. Trop présente. Il faut dire aussi qu'elle ne m'aidait pas. Descendant progressivement ses baisers vers ma nuque, je compris rapidement ses intentions ... Rendre l'utilisation de notre ami en latex possible.
Doutant sérieusement pouvoir me contenir très longtemps... Nous pourrions rapidement passer au stade supérieur. Embrassant mon torse, elle m'arracha quelques frissons de désires. Et puis elle descendit de nouveau. Récidivant avec sa langue ce qu'elle m'avait fait manuellement. Les deux bras tendus sur le lit, ma tête bascula rapidement en arrière. Fermant alors les yeux et me mordant les lèvres, je ressentis les premiers effets du jeu de Myriam. Elle était douée, bien plus que toutes les autres. Quoi qu'il en soit j'allais sombrer dans la folie. Trop de désir en une seule fois. Si certain aurait pu saturé c'était loin d'être mon cas. J'étais à l'apogée du plaisir, mais j'étais surtout loin d'être repu.
Lentement mon corps commença à se tendre de plaisir. Elle venait de gagner sur un point. Il était clair que j'appréciais, il était certain que je n'étais pas insensible. Alors, lorsque fut venu le temps de passer aux choses sérieuses, ma tête bascula de nouveau, mais en avant cette fois.
Un sourire lourd en sous-entendu figé sur mes lèvres. Frôlant alors son visage du bout de mes doigts, je l'invitai à revenir vers moi. Prenant alors l'objet rectangulaire dans les mains. J'étais vraiment sur le point de craquer. J'avais besoin d'elle. De sentir son coeur, sa chaleur, sa peau. L'embrassant dans le cou je finis par rompre tous contacte avec elle. Le temps d'honorer le "sortez couvert" des spots télés. Tous ça pour dire qu'il était temps d'honorer Myriam. Et ce avec le plus de tendresse possible.
Basculant alors Myriam sur le lit j'embrassai sa poitrine avant de remonter à ses lèvres. Jouant rapidement avec, le temps de lui faire comprendre que j'allais passer à la vitesse supérieur. Pour ne pas la brusquer. Et puis fut venu l'heure de passer à l'action. M'immiscer en elle pour lui rendre le plaisir qu'elle m'avait procuré.
Gardant une distance entre nous deux. Mes deux bras tendus de chaque côtés de son corps. Et puis les muscles de mon dos se tendirent, contractant la totalité de mon corps qui finit par s'avancer. Commençant alors un vas-et-viens salvateur. Créateur de désir, de plaisir et d'émotions. Une chose était sur à présent. J'étais prêt à la faire rentrer dans ma vie. Du moins ce que je considérais comme une vie.
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Quand on joue avec le feu [Myriam et Aaron] {Peut ne pas convenir à un jeune public} Mar 25 Jan - 11:42 | |
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L'observant du coin de l'oeil pendant qu'elle faisait monté son désir, Myriam vit lorsqu'Aaron bascula la tête vers l'arrière et qu'il se mordit la lèvre. Ainsi donc, elle avait réussit à atteindre son objectif. Super. Il aurait été incongru qu'il en soit autrement, mais sait-on jamais... Elle usait de tout ce qu'elle avait appris depuis deux millénaires, quoique dans les premiers temps elle n'était pas ainsi vu les moeurs, mais bon... Il fallait quand même que sa longue existence puisse servir à des fins personnes également, non? Sinon il n'y aurait pas d'avantage à vivre éternellement. Le corps d'Aaron se tendait au fur et à mesure que son plaisir augmentait et Myriam pouvait le sentir, car même si une de ses mains était occupé à aider sa langue, l'autre caressait le corps d'Aaron délicatement afin de lui procurer encore plus de frissons d'extases.
Puis, Aaron bascula sa tête vers l'avant et la regarda. Il avait un de ces sourires... Mais un sourire aussi lourd en sous-entendus. Myriam comprit rapidement qu'il était temps d'arrêter ce qu'elle faisait. Ce qu'elle fit, non sans faire un visage boudeur sur le coup. Elle n'aimait pas être arrêté quand elle était sur sa lancée. Enfin bref, Aaron frôla son visage avec le bout de ses doigts et il lui fit signe de venir le rejoindre, ce que Myriam fit bien sagement. Son amoureux prit le petit carré de plastique si utile dans ce genre de situation et embrassa Myriam dans le cou avant d'aller s'occuper du bout de plastique. Myriam regardait, tentant tant bien que mal de rester bien sage et de ne rien faire, malgré le sang qui bouillonnait dans ses veines. Elle avait besoin d'Aaron, d'être à ses côtés, avec lui, pouvoir toucher son corps, ses lèvres, sentir son souffle chaud sur sa peau... Elle ne pourrait plus jamais se séparer de lui, elle le sentait au plus profond d'elle-même.
Plongée dans ses pensées, elle ne remarqua même pas qu'Aaron avait terminé, jusqu'à ce qu'il la bascule sur le lit. Elle eut un petit rire et regarda Aaron dans les yeux, un sourire sur les lèvres. Elle ne put s'empêcher de penser qu'à cet instant, que pour la première fois en deux milles ans, elle était vraiment heureuse. En fait, elle était probablement la fille la plus heureuse de la terre, car elle avait le meilleur des hommes pour elle toute seule, il était l'homme parfait pour elle. D'ailleurs, cet homme parfait la sortie de nouveau de ses pensées en l'embrassant sur la poitrine, puis en remontant vers ses lèvres. La belle démone comprit qu'il souhaitait monter au niveau supérieur et elle sourit, savourant ce qu'Aaron faisait. Évidemment, il ne joua pas avec elle très longtemps, et elle ne lui en voulut pas, elle comprenait qu'il veuille passer à autre chose, car c'était ce qu'elle souhaitait également. Aaron était très doux, remplit de tendresse et d'amour et cela toucha énormément Myriam.
La belle princesse regarda son bien-aimé dans les yeux au moment même où il entra en elle. Elle caressa délicatement sa joue et étira son cou pour aller l'embrasser sur les lèvres, puisqu'il avait mit ses bras tendus de chaque coté d'elle. Lorsqu'Aaron commenca un doux va-et-vient, se fut au tour de notre belle Myrie de fermer les yeux afin de mieux savourer le moment. Son propre désir montait de façon vertigineuse et elle ouvrit les yeux afin de regarder Aaron. On pouvait voir, dans le regard de ce dernier, que c'était la même chose pour lui. Les yeux brillant d'amour, Myriam plongeait son regard dans celui de l'homme qu'elle aimait et elle alla l'embrasser amoureusement, d'un baiser si long qu'il ne semblait pas avoir de fin, caressant la chevelure d'Aaron par la même occasion, avant de lui murmurer amoureusement:
- Je t'aime mon bel amour! si tu savais comme je t'aime...
Maintenant, elle n'avait plus du tout peur de le dire, au contraire, elle aurait aimé lui répéter sans arrêt jusqu'à ce qu'elle s'en lasse, ce qui risquerait de prendre du temps, mais elle savait que ce n'était pas la meilleure chose à faire pour le moment. Elle regarda Aaron de nouveau dans les yeux et l'embrassa tendrement. Puis, comme pour aider Aaron dans ses mouvements, elle ondula son corps, de manière à ce que leur désir augmente à tous les deux. Cela fonctionna pour Myriam, en tout cas, car elle bascula la tête vers l'arrière et gémit doucement de plaisir. Ils allaient s'amuser cette nuit, elle en était certaine, car c'était plutôt bien partit pour le moment....
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| | | Aaron Lewis — Live out all the rest
Age : 35 Messages : 375 Date d'inscription : 02/12/2010
| Sujet: Re: Quand on joue avec le feu [Myriam et Aaron] {Peut ne pas convenir à un jeune public} Mer 26 Jan - 2:39 | |
| - Spoiler:
Il était rare que j'embrasse dans ce genre de situation. Au contraire, j'avais plutôt l'habitude de rompre tous contacte entre mes sentiments et le sexe. De toute façon, l'amour n'avait jamais existé à mes yeux. Imaginer que le charnel pouvait-être un moyen d'exprimer l'amour, avait-été exclu depuis des années. Alors, lorsqu'elle commença à m'embrasser, j'eus l'impression de violer mes principes. Je n'avais pas le droit ... Et puis, je me laissais prendre au jeu de l'amour. Cédant peu-à-peu à ses avances sentimentales. J'avais vraiment fait du chemin depuis le temps. J'étais différent. Elle comptait.
Et puis le corps de Myriam se tendit sous mes reins, elle n'y était donc pas insensible. Et puis ses yeux se fermèrent sous les chocs. Je me lançais dans un jeu mortel avec mon corps. Le sexe était mortel. Mais qu'importe, j'avais peu de temps et je voulais le passer avec elle a franchir les interdits que je m'étais imposé. Le désir déjà présent dans mes veines ne faisait que grandir. Me contrôlant davantage à chaque seconde.
Et puis ses lèvres me rencontrèrent à nouveau. Elles m'épousèrent, elles m'enivrèrent. Un baiser qui s'éternisa de longues minutes. Un baiser qui eut pour finalité d'accroitre mon envie d'elle. J'avoue que j'avais du mal à mêler sentiment et acte. Le mieu que je pouvais faire était de l'honorer calmement. Les gestes affectueux et câlin délicat seront pour un autre jour. Jour prochain je l'espère. Elle était mieux que la drogue. Je m'en rendais réellement compte. Durant un mois j'avais de nouveau franchi les limites imposés par la loi. J'avais à de nombreuses reprises frôlé l'excès. J'avais imbibé mon sang de drogue et d'alcool. Mais la seule chose qui me rendait réellement ivre, c'était ce que je vivais avec elle à cet instant.
— Je t'aime mon bel amour! si tu savais comme je t'aime...
La seule chose que je pus lui répondre fut affectif. Rompant pour la première fois la tension dans mes bras, je trouvai ses lèvres pour y déposer un baiser. Court, mais tellement addictif. Si bien qu'elle récidiva. Et puis voilà, elle se mit en tête de faire monter la température. M'accompagnant ainsi dans mes dérobades. Chose qu'elle réussit très bien.
Basculant alors sa tête en arrière Myriam exprima vocalement l'étendu de son plaisir. De quoi me faire sourire. Une bataille remportait, mais pas la guerre. J'avais bien plus à lui donner. Je n'étais moi-même loin du sommet de mon désir. Alors, à mesure que mon plaisir montait, mes mouvements se firent plus intenses, mon corps plus présent. Cédant de nouveau la barrière de mes bras j'embrassai son cou. D'abords innocemment, je finis par le frôler, y dessiner avec ma langue. Générant ainsi des secousses de frissons. J'étais vraiment un méchant garçon. Je jouais avec sa résistance.
Et puis une de mes mains glissa dans son dos, la collant davantage à moi. Rapprochant nos coeurs pour ne faire plus qu'un. Ma main libre se fixa sur la hanche de Myriam. La maintenant aussi bien qu'elle l'aidait. Accentuant au besoin la pression sur son corps. Excitant ainsi chaque cellules de son corps.
Des décharges électriques secouèrent peu-à-peu mon corps. Faisant basculer ma tête qui se réfugia dans le cou de ma belle. Je commençai réellement à prendre mon pied et mon corps me le faisait sentir. Entre-ouvrant la bouche, je laissai s'échapper une respiration sonore et saccadé. Je voulais bien croire à l'orgasme, mais je continuais à ressentir de nouvelles émotions. Mon plaisir ne cessant de grandir. Je n'y étais donc pas. Je pouvais ressentir plus.
Quittant alors ses hanches, ma main remonta lentement vers son visage. Marquant une longue pause sur sa poitrine avant de reprendre sa route vers son visage. Une caresse du revers de la main et puis un baiser. J'étais donc capable de tendresse ?
Ce fut d'ailleurs la tendresse qui m'électrisa une seconde fois. Comme-ci mon corps subissait l'extase pour la première fois. J'avais l'impression de pouvoir céder à tout moment alors que j'étais persuadé que mon corps pouvait gagner en plaisir. C'était donc cela d'aimer pour de vrais et dans tous les sens du terme ?
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| Sujet: Re: Quand on joue avec le feu [Myriam et Aaron] {Peut ne pas convenir à un jeune public} Mer 26 Jan - 18:11 | |
| - Spoiler:
Lorsqu'elle avait commencé à l'embrasser, Myriam avait sentit la résistance d'Aaron, mais elle ne baissa pas les bras et elle finit par réussir à faire céder ses barrières. Il l'embrassa à son tour et Myriam sourit, victorieuse. Elle se doutait que les sentiments et le sexe était deux pour Aaron, puisque c'était le cas pour elle aussi, du moins avant sa rencontre avec ce dernier. Mais avec lui c'était différent, l'embrasser alors qu'il lui faisait l'amour lui semblait tout à fait naturel, même si c'était loin d'être son genre habituel. De toute façon, avec lui, rien n'était jamais comme à l'habitude. Il avait réussit à la faire changer, en mieux bien sur, et c'était très bien comme ca, surtout qu'elle arrivait quand même à rester l'ancienne elle lorsque cela était nécessaire. Tout allait comme sur des roulettes.
Quoiqu'il en soit, Myriam avait de plus en plus envie d'Aaron, son désir augmentait au fond d'elle et elle avait de plus en plus de difficulté à se retenir. Après qu'elle lui ai dit qu'elle l'aimait, Aaron lui répondit par un baiser qui l'enivra au point où, lorsqu'il s'arrêta, Myriam récidiva et l'embrassa à son tour. Passionnée et remplis de désir, Myriam se laissait aller avec plaisir, regardant Aaron dans les yeux ou l'embrassant, bref, en gardant un contact physique ou visuel entre elle et Aaron, contact qui était en haut de la ceinture. Étrangement, cette fois-ci, puisqu'elle était avec Aaron, cela avait beaucoup d'importance à ses yeux. Elle l'aimait de tout son coeur, de toute son âme et de tout son être et elle voulait que ce moment soit inoubliable, qu'il soit intense et passionné et qu'ils se rappellent longtemps de la première fois où ils avaient fait l'amour, après des mois de fréquentation.
Puis, les va-et-viens d'Aaron se mirent à être plus intenses et son corps fut plus présent. Myriam gémit un peu plus fort, cadençant ses gémissements aux mouvements d'Aaron en elle. Lorsqu'il l'embrassa dans le cou, Myriam sourit et elle ferma les yeux lorsqu'il décida de frôler son cou et d'y dessiner avec sa langue. Le désir de la belle augmenta davantage, sa résistance ayant cédée encore un peu plus. Après un moment, une des mains de son bien-aimé alla dans son dos et fit en sorte que Myriam se colle sur Aaron. Quant'à son autre main, elle alla sur la hanche de la démone afin de la maintenir près de lui. La pression qu'il exercait de manière experte sur son corps la faisait frissonner et après un moment, ses gémissements devinrent des petits cris et sa respiration se saccada.
Puis, Aaron vint mettre sa tête dans le cou de Myriam, qui en profita pour caresser doucement ses cheveux. La démone sourit lorsqu'elle entendit la respiration de son bien-aimé commencer à se saccader et à devenir bruyante. Par la suite, la main d'Aaron remonta vers sa poitrine, qu'il caressa sous les gémissements de Myriam, et ensuite vers son visage, qu'il caressa du revers. Il l'embrassa et Myrie lui répondit par un baiser fougueux et passionné. Myriam était au comble du bonheur, ses gémissements devenaient de petits cris d'extase et elle avait mit ses deux mains sur les bras d'Aaron, appuyant ses ongles dans sa peau, mais pas trop, elle ne voulait pas lui faire mal. Chaque fois qu'un frisson de désir la parcourait de façon intense, la pression qu'elle mettait sur les bras d'Aaron augmentait le temps du frisson, puis diminuait ensuite.
Myriam finit par aller embrasser le cou de son bien-aimé sensuellement, en descendant ses baisers sur le haut de son torse pour remonter à son cou et enfin l'embrasser langoureusement sur les lèvres. Elle caressa ensuite doucement ses cheveux, puis son dos, qu'elle griffa juste un petit peu, non pas pour lui faire mal, mais bien pour augmenter le désir de ce dernier. Elle sourit de façon coquine, puis l'embrassa de nouveau....
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