Nathanaël R. Jones
Age : 73 Messages : 12 Date d'inscription : 01/07/2011
| Sujet: Nathanaël R. Jones — Damned Soul [Fini] Dim 28 Aoû - 17:04 | |
| N A T H A N A Ë L J O N E S Il y a une difference entre la folie et l'audace, à toi de savor si je la connais. ― Ab origine fidelisBe proud of where you come from. | Nom complet: Nathanaël Rafaël Jones Âge: 27 ans. Sexe: Masculin. Nationalité: Anglo-Canadien. Race: Humain. Emploi: Journaliste.
Avatar choisi: Joseph Gordon Levitt. |
Mihi cura futuri ― But the past can still help you.
Un gros titre, " Dieu est le plus grand hérétique de ce monde, Portrait d'une religion basé sur le mensonge par Rafaël Jones ".
Des réactions, " Nouvelle exécution publique en la personne de Rafaël Jones " — " Un hérétique parlant d'hérésie " — " La religion n'a pas été autant malmenée depuis les dernières Grandes Guerres " — " Qui sera la prochaine victime du chroniqueur de l'ombre ? ".
Voilà à quoi ce résume ma vie, jouer les fouilles merdes. Je me nomme Nathanaël Rafaël Jones, ce qu'il y a, d'inutile, à savoir sur moi est déjà sur ma page wikipédia. Pour le reste, il suffit de demander. Nationalité ? Anglaise. Métier ? Journaliste depuis trois ans. Formation ? Master en Psycho. Situation de famille ? Parents, petit frère, grande soeur, ex femme, petite fille. Truc qui me rend chiant pour les autres ? Un QI de 160 peut-être. Une façon de penser ? Végétarien. Position préféré ? Levrette. What else ?
Vous savez quoi ? Ce qu'il y a de bien avec ce qu'on vous dit sur moi, c'est que quelque soit ce qu'on vous rapporte, ça sera toujours erroné ou incomplet. Et bien que je sois le mieux placer pour parler de moi, je reste humain, et je ne pourrais donc pas vous relater ma vie en entier. Et puis je doute que la vie et la mort de mon hamster Punky vous intéresse tant que cela. Non, je pense qu'il vaut mieux se limiter à l'essentielle et au présent surtout, alors vous ne m'en voudrez pas de vous comté, succinctement mes dix-huit premières.
Je suis né à Toronto, d'une mère Astrophysicienne Canadienne et d'un père Biochimiste Anglais, oui oui je ne vous mens pas, mes parents sont bien passionné par la matière la plus chiante du monde. Quoiqu'il en soit, nous arrivâmes à Londres lorsque j'avais dix ans. Ma soeur rentra alors à Oxford en Mathématique alors que mon petit frère sauté déjà une partie de l'école primaire. Tous les deux studieux, personne n'eut vraiment de doute sur leurs intelligences. Des têtes aux QI proche de 130. Par contre pour moi … C'était plus difficile déjà. J'avais redoublé à cause de résultat catastrophique et surtout, j'étais dans la même classe que mon petit frère en ayant trois ans de plus que lui.
J'étais loin d'être un modèle de réussite et je pense même que pour beaucoup, je ne méritais pas d'être un Jones. Pour eux j'étais juste fainéant et nul. Sauf qu'en réalité … Je me faisais juste chier à mourir. Mais vraiment. Et pour faire simple, ils comprirent que je n'étais pas un débile profond quand je me suis mis à lire et comprendre les bouquins qu'écrivait ma mère. Oui, à 12 ans comprendre le phénomène anti-gravitationnelle exercé par le poussé des corps, ce n'était pas donné. Alors, un test de QI plus tard et me voila projeté en dernière année de collège, juste pour voir. Et miracle, le débile de la famille se révélé être le plus intelligent. Alors voilà comment, à 15 ans je me retrouvais déjà à Oxford.
Nous voilà donc à mes 18 ans, lorsque ma vie commença à prendre un tournant assez … Inattendu.
En effet, c'est à ma majorité que je rencontrais dans les couloirs de la fac une magnifique jeune femme. Elize, magnifique brillante. Elle était en première années et moi en troisième. Autant dire que j'avais l'excuse parfaite pour jouer au prof particulier. D'ailleurs, ce qui m'amusa à l'époque fut qu'elle dit oui à ma proposition sans vraiment se poser de question. Elle qui était carrément mignonne et moi j'étais … Le portrait type d'un fils de chercheur, un poil intello quoi. Nous sympathisâmes et puis un jour, on franchit un nouveau cap. Sortant ensemble. C'était la femme de ma vie à l'époque, j'étais dingue d'elle. Si bien qu'à son contacte, j'ai commencé à prendre soin de moi. Devenant de plus en plus séduisant, faisant du sport aussi. Bref, nous allions vraiment ensemble.
Ma vie était si facile avec elle que ce fut évident, j'allais vivre avec elle. J'avais vingt ans que je fis la plus grosse connerie de ma vie. Me marier avec elle. Sur l'instant ça semblait une très bonne idée. Nous étions heureux, le monde entier était contre nous mais l'on s'en fichait, on s'aimait. L'innocence de la vie surement. Mais le paradis sur le moment. Le bonheur complet qui ne fit que grandir lorsqu'elle tomba enceinte. M'offrant une magnifique petite fille. Alix, mon soleil, mon âme. Un bonheur parfait qui durant encore … Un mois. Car après ce fameux mois, cette salope s'envoya en l'air avec notre prof de socio. Cette pute s'envoya en l'air alors qu'elle venait de me donner une fille et qu'elle était censé être ma femme. Oui, j'avais 21 ans, une fille à charge et surtout, un divorce sur le dos.
Je finis par avoir mon diplôme, mais je n'avais plus le courage de pratiquer, Elize m'avait dégouter de la psycho. En fait, elle m'avait dégouté de l'amour même. Je ne comprenais pas qu'une femme puisse abandonner si facilement son mari ET sa fille. C'était surtout pour Alix, elle grandirait sans mère. Dans le fond, il valait mieux pour elle qu'elle ne connaisse pas sa mère.
Je repris donc mes études pour devenir journaliste, exploiter en somme mon besoin de vérité. Et me voilà donc journaliste à 24 ans, ma fille ayant trois ans à présent, et nous venions de déménager à Camden Town, dans un appartement. Une veine de Londres active. C'est en arrivant la bas que je découvris une jeune fille fort utile. Blake, un peu déluré, mais assez motivé pour garder ma fille quand je partais bosser, ou quand j'allais m'envoyer en l'air pour renforcer mon besoin de détachement émotionnel. Et puis, depuis que je la confie, je n'ai jamais eu de vrai problème, en fait non, Blake ne m'avait jamais tué ma fille. Alors les fois ou l'appartement finissait en champ de ruine, je m'en fichais. Ce n'est que matériel, et tant qu'Alix n'a rien, j'irais bien.
Et puis forcement, à force de fréquenter la fille, j'ai découvert la mère. Une femme attachait à sa fille et l'aimant vraiment. La mère de Blake est bien l'exception qui confirme la règle, les femmes sont des salope, sauf Emilia, Blake et Alix. Pour le reste … On repassera. Alors oui, je traite les femmes alors que je suis toujours en charmante compagnie, mais c'est dans mon taff. Je dois savoir charmer et ce intelligemment. Ce que je fais très bien.
Pour tout le monde je suis le grand brun un peu fou qui intrigue. Et limite cette description me va. Personne ne connait l'existence de Alix, comme personne ne connait mon vrais nom. Je protège ma fille, pas moi, je sais très bien que mes textes déranges et je sais aussi que beaucoup aimerait que je me contente des extravagance de Camden, mais je ne suis pas comme ça. Je préfère secouer tous ce beau monde plutôt que de les conforter dans leurs conneries.
C'était Nath Jones et sa vie passionnante de débauché au coeur brisé.
― Spes salutisWhat about the master mind ? | Prénom ou pseudo: BWAWAWA. Sexe: Négatif. Âge: Positif. Localisation: infinie. Un commentaire ? : Olé/Alice |
|
| |
|
Lyam Austec
Age : 30 Messages : 84 Date d'inscription : 05/06/2011
| Sujet: Re: Nathanaël R. Jones — Damned Soul [Fini] Mar 30 Aoû - 16:34 | |
| Comme d'hab. Rebienvenue *O* | |
|